Industrie mature et encore en croissance, le jeu vidéo entraîne divers types de pollution : physique (jeux, consoles, serveurs) et en consommation énergétique. L’industrie vidéoludique manque d’incitation à optimiser sa consommation énergétique, et ce alors que des marges d’optimisation existent sans se faire au détriment de l’expérience du joueur. Ce constant résulte d’un manque de signaux envoyés aux acheteurs pour les orienter et d’intervention des décideurs publics pour établir des labels alors que l’impact financier peut être important pour les joueurs. Le cloud gaming, énergivore, pourrait évoluer aussi dans le sens d’une optimisation énergétique et financière. La question de la volonté plus que de la technologie est donc centrale à l’avenir.